Auteur/autrice : nicole
VAUDEVILLE DE M. DUMOLLET
Sa chanson connue sous le titre de Bon voyage Monsieur Dumollet, tirée du final de sa folie en un acte Le Départ pour Saint-Malo, donnée pour la première fois le 25 juillet 1809, est restée célèbre jusqu’à nos jours. Ceux qui la connaissent à présent en ignorent souvent l’auteur. Ses paroles partent d’une anecdote survenue à Saint-Malo qui avait eu son heure de célébrité à l’époque ; elle est ainsi évoquée par Chateaubriand :
« Enfin, pour ne rien omettre, je rappellerai les dogues qui formaient la garnison de Saint-Malo […]. Ils furent condamnés à la peine capitale pour avoir eu le malheur de manger inconsidérément les jambes d’un gentilhomme ; ce qui a donné lieu de nos jours à la chanson : Bon voyage. On se moque de tout. On empoisonna les criminels ; l’un d’eux refusa de prendre la nourriture des mains de son gardien qui pleurait ; le noble animal se laissa mourir de faim : les chiens, comme les hommes, sont punis de leur fidélité. »
ADRIEN SARAZIN – Carte Publicitaire
TABLEAU « PIERROT » DE ANTOINE WATTEAU – Carte postale.
Jean-Antoine Watteau, plus connu sous le nom d’Antoine Watteau, né le 10 octobre 1684 à Valenciennes et mort le 18 juillet 1721 à Nogent-sur-Marne, est un peintre français devenu célèbre par ses représentations de « fêtes galantes ». Il est un des créateurs représentants du mouvement rocaille.
————————————————————–
Le sujet exact de l’œuvre, sa signification et sa date d’exécution suscitent encore des controverses. Pour certains, le thème choi-si, mais aussi les dimensions inhabituelles du format, les proportions du personnage et l’espace qui semble basculer s’expliqueraient par sa fonction initiale d’enseigne de théâtre. Il représenterait alors Pierrot, un personnage de la Comédie italienne, et serait peut-être le portrait d’un acteur célèbre. Panofsky l’interprète plutôt comme une allusion à un épisode de L’Education de Gilles qu’illustrait ce proverbe populaire : « A laver la tête d’un âne on perd sa lessive ».
Cependant l’accord se fait sur la qualité picturale de l’œuvre. Comme l’a souligné Francastel, Watteau a démontré là sa capacité à peindre des grands formats; en même temps, « il a surtout voulu faire une harmonie en blanc, gageure et réussite incomparable ».
Vers 1718-1720
Huile sur toile, 184 × 149 cm
Paris, musée du Louvre
01987. Edilo-ServiceS.A. Genève
Imprimé en fiaie D2.441.01.08
LES MENUS DE L’EPOQUE
1949 – 1952
Sur ces menus on peut se rendre compte des repas qu’ils faisaient à l’époque ! Menu bien garni apparemment.
Le 1er est de l’hôtel restaurant de Sonzay (37)
Le 2ème menu, de l’Hôtel Sainte Barbe à Neuillé Pont Pierre (37)
Et en plus derrière celui-ci il y a les signatures des convives. Ce qui en fait ujne belle collection.