LE CORSO FLEURI TOURS (37)

C’est un film ancien tiré des archives donc muet.

Sur un programme : blason de la ville de Tours, « 22 mai 1977 XXVIème Corso Fleuri » puis « Ordre du défilé » et détails.

Boulevard Béranger à Tours, passage d’un grand défilé avec troupes de majorettes (notamment de Saumur, de Saint-Chamond, de Montargis, de Villedômer et de Fécamp), fanfare et nombreux chars décorés (dont « Le village d’Astérix » et « Casimir – L’île aux enfants ». Carton décoré : « Fin »

https://memoire.ciclic.fr/22802-3-corso-fleuri-tours

CHATEAU DE BLOIS

Classé monument historique depuis 1845, le château royal de Blois présente un magnifique panorama de l’art et de l’histoire des châteaux de la Loire. Ses quatre ailes, entourant la cour, forment un exemple unique de l’évolution de l’architecture française du 13e au 17e siècles. L’édifice évoque, par sa diversité de styles, le destin de 7 rois et de 10 reines de France. 

Tout savoir sur ce château : https://www.chateaudeblois.fr/2074-histoire-et-architecture.htm 

NEUILLE PONT PIERRE LES CHEVAUX

Le transport : le cheval

Comme vous pouvez le voir sur cette carte, la correspondance se trouvait au recto. Avant que cela ne devienne obligatoire, l’écriture devant être  mise au dos de celle-ci. correspondance et adresse.

VEZELAY

Vézelay est une commune française située dans le département de l’Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.            

Renommée en raison de la basilique Sainte-Marie-Madeleine et de la colline classées au patrimoine mondial de l’humanité, elle est le point de départ de l’une des principales voies de pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, la Via Lemovicensis.

De grands écrivains du xxe siècle, comme Romain RollandGeorges Bataille ou Jules Roy, ont habité sur la « colline inspirée ».

LE GOUFFRE DE PADIRAC

Situé au cœur de la Vallée de la Dordogne, dans le département du Lot, à deux pas de Rocamadour, le Gouffre de Padirac, classé monument naturel, est à la croisée du Quercy et du Périgord.

Voici l’histoire de ce gouffre.

En 1907, il existait encore un petit mur en pierres sèches et les restes d’un foyer sur le sol du talus détritique du gouffre. Armand Viré pensait que ces vestiges avaient été laissés par des vaincus de la guerre de Cent Ans. Des cendres, des charbons, des débris de cuisine et des armes y ont été trouvés et furent par la suite exposés au public dans une vitrine à l’entrée du gouffre. Il fut habité à la fin du XIVe siècle ainsi qu’en fin du XVIe siècle.

En 1595, d’après François de Chalvet de Rochemonteix, les hommes profitent des conditions climatiques du lieu pour en extraire « un fort bon salpêtre »4.

En 1867, la justice fit remonter le corps d’une jeune fille assassinée5.

Édouard-Alfred Martel rapporte que vers 1865 – 1870, M. le comte Murat et M. de Salvagnac descendirent dans le puits d’entrée dans un grand panier retenu par des cordes. Le fils de M. de Salvagnac confia à Martel que son père y était descendu par curiosité ou à la suite d’un pari. Mais ils ne remarquèrent pas le petit orifice qui conduit à la grande galerie où s’écoule la rivière souterraine4.

En 1889, le spéléologue Édouard-Alfred Martel fut le découvreur de la rivière souterraine du gouffre de Padirac.